samedi 18 janvier 2014

Corps du temps


Tic-tac, le temps qui égraine ma passion
Ding! le réveil qui éteint cette chanson
Ah ! l'écho du rêve que nous partagions!

Quand tu lèves le voile, que je découvre en ton sein, ta fougue,
Je me délecte de la sincérité, hypnotisé en ton sein; ton joug. 

En glissant le long de ton ombre
Perdu dans l'insondable pénombre
Je ne suis que nocturne lumière
Je rêve de l'estuaire.

Vaudelaire 
Poète des pauvres et pôvre pouète


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