Ce paysage qui se dessine sous mon regard
Ces valons où se cachent les ébats de la nature
Ces souvenirs d'explorations à dos de bayards
Ombres semi-effacés, dessins de ces figures
Chaque plis, chaque frange, une évolution
Que la matinale lumière, de son revers, révèle,
Les mouvements de sol, emprise de passion
Témoins d'étreintes de sentiers bordés en louvelle
Contrejour jeune sonnant le glas des ténèbres
Chaleur du levée couché dans cette idylle
Sous la main vadrouilleuse se dessinent les vertèbres
S'éveillant sur cette nature dynamophile
Lancement de mots au sol pour le chant qu'ils offriront à l'univers ou l'oublie qu'ils sauront rappeler. Simple dans la forme, humble dans l'intention, ces mots ne se prennent aucunement pour une histoire à eux seuls, mais reflètent le vécu de son auteur.
samedi 9 avril 2016
Draps
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