Silhouettes sur le voile du matin
Lumière qui habille les pensées
Êtres couettes aux frôlantes mains
Voir nous embrasser l’idée
Des souvenirs sans fin
Cou du jour, de grâce faite
Épousant le rayon levant
Immobile silhouette
Porte chaleur au coeur rêvant
De souvenirs inertes
Comment frôler ses joues
D’éternel porcelaine
Qu’en fléchissant le genou
Devant sa rayonnante reine
Pour les souvenirs fous
Fléchir le mur de fumé
Ces rêves ainsi consumés
Le plier de volonté
Afin de pénétrer
Ses souvenirs occultés
Sur ce parchemin
Marcher les silhouettes
Et par ce chemin
La lumière découverte
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